Grand prix
du Maire de Champignac 2004

 

Champignac d'Or

Champignac d'Argent

42 candidats se sont disputé le Grand prix du Maire de Champignac 2004.

En date du 18 décembre 2004, le Jury du Grand Prix du maire de Champignac a décerné les prix suivants:

Champignac d'Or 2004: Pierre Chiffelle, alors conseiller d'Etat vaudois, pour:
«Ce serait véritablement se tirer une balle de plus dans le pied que de se mettre cette épée de Damoclès au-dessus de la tête, et puis de couper la corde qui la retient.»

Champignac d'Argent 2004: Mireille Cornaz, conseillère communale lausannoise, pour:
«La Municipalité a choisi une personne compétente pour ce projet. Comme beaucoup, je le regrette.»

Mentions spéciales:

Mention Couverture militaire: Christophe Keckeis, chef de l'armée suisse, pour:
«Il n'existe aucune maison sans toit, et il faut comprendre ces avions comme le toit au-dessus de ce pays, au-dessus de sa population. Et ça, c'est une tâche à long terme. Si on veut supprimer le toit d'un pays, c'est vraiment une question de fond, qu'il faudrait discuter tout à fait professionnellement et non pas en termes d'émotions.»

Mention Dieu du Stade: Christian Constantin, président qui préside le FC Sion, pour:
«Le FC Sion est apolitique, chrétien et catholique.»

Mention 0,5 pour mille: François Othenin-Girard, journaliste, pour:
«Autrefois, nous mettions de l'eau dans notre vin, explique le député de Bière. Mais aujourd'hui la coupe est pleine.»


Candidats et citations

Candidat n° 1

«Ses partenaires européens ne peuvent manquer de relever l'incohérence certaine d'une politique étrangère parlant haut et fort en faveur du multilatéralisme quand il s'agit de faire pièce à l'administration étasunienne et se souciant comme de colin-tampon des règles édictées en commun quand leurs épines piquent.»

François Gross, fleuriste rhétorique,
in Le Temps, 29 septembre 2003

Candidat n° 2

«J'ai moi-même un chien. Je l'aime, mais je l'éduque. Nous exigeons de nos soldats qu'ils soient polis avec les civils. La réciproque n'est pas interdite.»

Claude Godet, colonel et ami des bêtes,
in L'Impartial, 12 septembre 2003

Candidat n° 3

«Si les paysans effectivement n'arrivent pas à quarante heures de travail par semaine, au moins du mois du juin à la fin septembre, ils ont eu quarante heures de soleil largement inscrites dans les journées pour pouvoir travailler dans leurs champs.»

Fernand Cuche, conseiller national encore vert,
15e séance du Conseil national, 2 octobre 2003

Candidat n° 4

«Les libéraux ne sont pas des autruches qui veulent se cacher la tête dans le sable en regardant les problèmes, si je puis dire, de manière presque invisible.»

Jacques-Simon Eggly, toujours conseiller national libéral,
10e séance du Conseil national, 25 septembre 2003

Candidat n° 5

«- Que reste-t-il à faire sur ce pont ?

- Pratiquement rien. Les lumières, mais c'est une question de jour. Et puis, nous sommes en train de poser des barrières aussi en bout de pont, ce qui n'existait pas auparavant. Il est vrai que nous avons eu des suicidés durant les travaux, et c'est des bouts du pont qu'ils sautaient.»

Olivier Français, Municipal lausannois des travaux,
in 24 Heures, 11 novembre 2003

Candidat n° 6

«Cet homme devrait avoir son buste à l'entrée du musée. C'est un monument. Comme moi d'ailleurs.»

Léonard Giannada, président de la Fondation du même nom,
in Le Temps, 19 novembre 2003

Candidat n° 7

«- Côté information, vous allez renforcer la rédaction ?
- C'est déjà fait. L'équipe est désormais composée de six journalistes, spécialisés en sport, culture ou politique. Ils seront encore plus présents sur le terrain. Concernant la politique locale, nous continuerons à n'être d'aucun parti. Nous serons par contre derrière la Municipalité, qu'elle soit de gauche ou de droite.»

Antoine de Raemy, propriétaire de Lausanne FM,
in 24 Heures, 1er octobre 2003

Candidat n° 8

«- Est-il exact de dire que vous êtes peu apparu aux audiences pénales depuis votre entrée en fonctions en juin 2002 ?
- (…) Bref, à ceux qui me reprochent de ne rien faire, j'oppose un démenti formel. Démenti qui sera vérifié lorsqu'on me verra.»

Daniel Zappeli, procureur général genevois,
in Le Temps, 22 septembre 2003

Candidat n° 9

«Dans nos salles, nous avons un esprit wellness : un corps sain dans un esprit sain.»

Olivier Jacquard, responsable de salle de fitness,
in Tribune de Genève, 16 octobre 2003

Candidat n° 10

«Médecin de formation, mi-Bernois mi-Finlandais, [Thomas Zeltner] va au-devant de réformes difficiles. Réputé fin psychologue, ce féru d'art moderne jouit néanmoins de l'intelligence pour les mener à bien.»

François Mauron, journaliste,
in Coopération, 29 octobre 2003

Candidat n° 11

«La géothermie fait actuellement l'objet d'un effet boule de neige en Suisse romande.»

François Vuataz, collaborateur scientifique au Centre d'hydrogéologie de l'Université
de Neuchâtel et vice-président de la Société suisse pour la géothermie,
in 24 Heures, 22 décembre 2003

Candidat n° 12

«Et c'est un succès populaire sans précédent, comme d'ailleurs toutes ces dernières années.»

Laurent Bastardoz, journaliste sportif,
à propos de la Coupe Spengler,
supra TSR1, 27 décembre 2003, 19h30

Candidat n° 13

«Ce choix n'est pas lié à une volonté de défendre les "intérêts de boutique" de notre syndicat. Le SSP n'est pas responsable de la rupture de l'unité entre les organisations du personnel. Ce sont les directions de la FSF et de SUD qui ont décidé de faire cavalier seul»

Tract du Syndicat des Services Publics, section Vaud,
9 décembre 2003

Candidat n° 14

«Je pense qu'il faut respecter les peurs que suscite la nouvelle prise de parole des musulmans. Elle peut donner l'impression d'une invasion silencieuse.»

Tariq Ramadan, bavard muet,
in Le Courrier, 25 novembre 2003

Candidate n° 15

«À lui [le commandant Warwick] maintenant d'emporter au large ce géant des mers [le Queen Mary II], en Espagne d'abord, puis à Southampton, où il sera baptisé par la reine d'Angleterre, avant de prendre son envol le 14 janvier prochain pour Fort Lauderdale.»

Audrey Sommer, hydravionneuse,
supra TSR1, 22 décembre 2003, 19:30

Candidat n° 16

«Les mystères politiques de l'hôtel fantôme de Rolle : L'hôtel Rives Rolle pourrait ouvrir demain. Et cela fait des années que ça dure.»

Bernard Favre, pronostiqueur,
in La Tribune de Genève, 8 décembre 2003

Candidate n° 17

«J'ai enseigné les mathématiques en 5ème et 6ème. Je me suis très vite aperçue qu'on pouvait partager la classe en trois groupes : un petit quart qui comprenait avant qu'on ait fini de donner l'explication, et était capable de résoudre tous les problèmes subtils. Une moitié qui suivait très honnêtement les explications, et était capable de se débrouiller en gros. Enfin, un tiers qui ne touchait pas terre (…).»

V. D., initiales magiques,
in Bulletin de l'Association des Parents Intéressés
et Concernés par la Scolarité, n° 5, décembre 2003, p. 18

Candidat n° 18

«Soit on réforme pendant qu'il en est temps, soit l'histoire nous rattrapera. Dès lors, et pour autant que l'on respecte le fédéralisme dans ce qu'il a d'efficient, à savoir de produire la prestation au niveau le plus proche possible de sa zone d'influence, pour autant que les zones décisionnelles soient respectées, eh bien je suis intimement convaincu que c'est la direction à prendre, celle de la simplification, de la concentration, des synergies.»

Denis Froidevaux, président de la Société vaudoise des officiers,
in 24 Heures, 31 janvier 2004

Candidat n° 19

«Vous êtes quand même conscient que la truite est la partie émergée de l'iceberg !»

Raphaël Arlettaz, professeur au Zoologisches Institut de Berne,
à l'Aula François-Xavier Bagnoud, Sion, 11 mars 2004, vers 15h30

Candidat n° 20

«Le chantier de la révision de la LAMal me fait penser à l'intervention d'un député au Grand Conseil vaudois qui demandait si l'on aurait un jour le privilège de voir la cathédrale de Lausanne pendant quelques mois sans échafaudages. Pour la loi sur l'assurance-maladie, les échafaudages sont mobiles, mais jamais au repos. Nous nous devons de mettre cette révision sous toit, alors même que la révision suivante est déjà en gestation et que des initiatives sont en mesure de venir améliorer ou chambarder le tout.

Entamée comme une révision partielle sur le financement des hôpitaux, cette aventure a occupé les commissions respectives du Conseil des États et de notre conseil, ainsi que les plénums, pendant d'innombrables heures depuis la sortie du message du Conseil fédéral, daté du 18 septembre 2000. Il restera des frustrations. Il restera des impressions d'inachevé, et pour cause ! puisque le travail continue. Il n'est même pas sûr que les aménagements sur lesquels nous nous mettrons d'accord permettent de substantielles économies. Mais certains problèmes urgents seront réglés et des directions seront données qui nourriront les prochains travaux d'une révision qui se doit d'être permanente, mais ponctuée par des points à la ligne. Nous ne pouvons pas nous permettre de débattre d'une loi sans jamais la changer. L'évolution de la société et des coûts demande ces adaptations permanentes.

C'est pourquoi je vous recommande, au nom de la commission, de faire tout ce qui est possible pour adopter une fois cette loi, en sachant qu'elle n'a rien de définitif et que vous pourrez encore vous éclater sur ce sujet une fois que la loi révisée aura remplacé celle du 18 mars 1994. Nous devons éviter que le mieux devienne l'ennemi du bien. Nous devons éviter de laisser des aspérités trop rugueuses qui donnent prise à un référendum. Nous ne devons toutefois pas voter une loi qui soit stérilisée au sens médical du terme et qui n'apporte rien à la marche du système. Je compte sur vous pour atteindre l'objectif d'éliminer les divergences avec le Conseil des États lors de cette session encore.»

Jean Fattebert, conseiller national,
5e séance du Conseil national, 8 décembre 2003

Candidats n° 21

Question : «Car, enfin, la notion de la mort traitée sous l'angle très particulier des transplantations d'organes, c'est un peu comme la naissance vue à travers le problème, ô combien délicat ! mais quand même très particulier, de l'interruption de grossesse. Et cela pose, me semble-t-il, le même genre de questions. Ne faut-il donc pas admettre qu'il devient urgent de songer à avoir une définition générale de la mort pour s'épargner ce genre de problèmes face à une question difficile ? Car la notion de mort est manifestement une question continue. On ne peut pas dire que la mort est intervenue à un moment donné. Elle intervient progressivement et, à partir d'un certain stade, elle est arrivée.»

Réponse : «Quant à la comparaison entre l'interruption de grossesse et la naissance, d'une part, et puis la mort cérébrale et la mort, d'autre part : je pense qu'il y a une différence de taille, ne serait-ce que par le fait qu'un embryon, jusqu'à preuve du contraire, n'est pas un enfant né, qui est potentiellement dans la capacité de naître vivant.»

Luc Recordon, conseiller national,
puis Liliane Maury Pasquier, femme sage et conseillère nationale,
rapporteure au sujet de la loi sur la transplantation,
11e séance du Conseil national, 17 décembre 2003

Candidate n° 22

«Ainsi, après la fermeture des petits bureaux [de poste], qui a secoué les campagnes, voici venu le tour des plus grands. Par ailleurs, à peine a-t-on adopté la révision de la loi sur la poste, censée calmer le jeu, que le couperet tombe sur les centres de tri, et c'est la douche froide.»

Anne-Catherine Menétrey-Savary, conseillère nationale,
11e séance du Conseil national, 17 décembre 2003

Candidate n° 23

«La Municipalité a choisi une personne compétente pour ce projet. Comme beaucoup, je le regrette.»

Mireille Cornaz, conseillère communale VDC,
Conseil Communal de Lausanne, 20 avril 2004, un peu avant 22h00

Candidat n° 24

«J'en reviens au principe d'un esprit sain dans un corps sain. On a besoin des deux, et les deux sont forts à Lausanne. Il faut que 1 + 1 fasse un peu plus que 2 et non pas l'inverse.»

Patrice Iseli, Chef du service des sports de la Ville de Lausanne,
supra TVRL, 7 mars 2004, vers 18h20

Candidat n° 25

«Le FC Sion est apolitique, chrétien et catholique.»

Christian Constantin, président qui préside le FC Sion,
in Le Nouvelliste, 7 février 2004

Candidat n° 26

«Le dépouillement des nouvelles cartes de vote permet, pour la première fois, de connaître l'électorat vaudois ainsi que le profil des votants. Le citoyen actif est en fait une femme de 52 ans.»

SCRIS, service cantonal vaudois de recherche et d'information statistique,
in Numerus, n° 1, février 2004

Candidate n° 27

«Nous voulons lutter contre l'insécurité à tout prix mais pas à n'importe quel prix.»

Thérèse de Meuron, conseillère communale PRD,
au Conseil Communal de Lausanne, 20 avril 2004, 22h08

Candidat n° 28

«Les jeunes ont besoin d'idéal et d'objectifs concrets à atteindre ; si le marché économique leur coupe l'herbe sous les pieds, il devient parfois difficile de rebondir… Reste la solution d'une nouvelle formation, mais là plus rien n'est garanti car actuellement presque tous les secteurs sont touchés peu ou prou par le chômage, certains moins que d'autres il est vrai.»

Jean-Marc Theytaz, journaliste et poète,
in Le Nouvelliste, 9 mars 2004

Candidat n° 29

«Il n'existe aucune maison sans toit, et il faut comprendre ces avions comme le toit au-dessus de ce pays, au-dessus de sa population. Et ça, c'est une tâche à long terme. Si on veut supprimer le toit d'un pays, c'est vraiment une question de fond, qu'il faudrait discuter tout à fait professionnellement et non pas en termes d'émotions.»

Christophe Keckeis, chef de l'armée suisse,
supra RSR1-La Première, 20 avril 2004, vers 7h50

Candidat n° 30

«Alors est-ce que l'entraîneur national Ralph Krueger, par ailleurs extrêmement critiqué et ce avec raison ici à Prague, saura sortir de son sac à malices le même type d'artifice qui lui avait permis, rappelons-le, de galvaniser ses joueurs, qui avaient remporté un match qu'ils auraient dû perdre cent fois contre les Russes à Saint-Pétersbourg ? Nul ne l'ignore.»

Jean-Jacques Besseaud, journaliste,
supra RSR1-La Première, 2 mai 2004, vers 12h35

Candidat n° 31

«L'ombre de la canicule refait surface.»

Titre en première page du
Le Courrier, 6 mai 2004

Candidat n° 32

«…la nouvelle génération de l'extrême gauche romande s'encombre moins de références idéologiques que ses devancières. Moins à cheval sur les vaches sacrées du socialisme, mais plus terre à terre.»

Pascal Bertschy, zoologue,
in La Liberté, 21 juin 2004

Candidat n° 33

«Bon grimpeur, deux fois 3e du Tour de la Vallée d'Aoste, Zaugg, qui a fait un apprentissage de ramoneur, attend la montagne avec impatience.»

Jean-Jacques Rosselet, portraitiste,
in Le Courrier, 19 mai 2004

Candidate n° 34

«On ne peut pas opposer chiens et enfants. Ce sont souvent des familles ou des personnes âgées qui possèdent un animal. Il est normal qu'elles aient accès aux places de jeu.»

Silvia Zamora, directrice de la Sécurité publique
et de l'Environnement, à Lausanne,
in Le Matin, 16 juin 2004

Candidat n° 35

«La vie est telle qu'elle est, telle qu'elle pourrait être, mais elle est toujours ce qu'elle est.»

Pierre-Alain Corthay, éditorialiste,
in Journal de Fully, mars 2004

Candidat n° 36

«On souhaite que le parlement fasse un tri sur ce qu'il juge prioritaire ou non. Parce que tout est prioritaire ! Et si toutes les bonnes idées du parlement sont renvoyées au gouvernement, je vous laisse imaginer ce qui va se passer au niveau du Conseil d'État !»

Pascal Broulis, conseiller d'État vaudois,
au Grand Conseil, 23 mars 2004

Candidat n° 37

«Pierre Thomas s'est fixé une seule règle : conserver, quel que soit le support, une approche journalistique sans jamais sacrifier aux règles de la déontologie.»

Article sans signature, publié sous l'égide de la Fédération suisse des journalistes,
in Journalistes.ch, juin 2004

Candidat n° 38

«Mais, comme chez Mozart, dans les plus grandes joies loge, aussi, plus ou moins claire et visible, la tristesse, infinie, à la mesure du bonheur, immense même quand il est minuscule.»

Jean-Christophe Aeschlimann, rédacteur en chef,
in Coopération, 21 juillet 2004

Candidat n° 39

«Le grand zap de la vie est aussi celui de la mort. Cette vérité nous touche plus ou moins selon qu'elle nous concerne de près ou de loin.»

Denis Pittet, éditorialiste de fond,
in Le Matin, 6 août 2004

Candidat n° 40

«Autrefois, nous mettions de l'eau dans notre vin, explique le député de Bière. Mais aujourd'hui la coupe est pleine.»

François Othenin-Girard, journaliste,
in 24 Heures, 27 août 2004

Candidat n° 41

«Ce serait véritablement se tirer une balle de plus dans le pied que de se mettre cette épée de Damoclès au-dessus de la tête, et puis de couper la corde qui la retient.»

Pierre Chiffelle, alors conseiller d'Etat vaudois,
supra Radio Chablais, 1er avril 2004, vers 6h30

Candidat n° 43

«Je pense que si des citoyens se sentent frustrés d'une décision, il est important qu'on y apporte des réponses adéquates. Ces réponses adéquates méritent effectivement à ce que… &endash;et je crois que la commission des pétitions l'a très bien relevé. Je pense qu'elle n'aurait pas proposé à l'unanimité le renvoi de cette pétition au Conseil d'Etat si elle avait pas eu le sentiment que l'exposé qui lui était fait par deux des pétitionnaires qui sont venus effectivement présenter ces événements n'avait pas rendu vraisemblable qu'un certain nombre de vérifications étaient à faire. Alors je crois que le Conseil d'Etat est au courant de ces éléments qui sont effectivement à valider. Et il serait certainement politiquement bienvenu à ce qu'ils le soient pour ôter toute équivoque à ce sujet, et au demeurant corriger le tir si nécessaire.»

Charles-Pascal Ghiringhelli, député vaudois,
supra Radio Chablais, 27 avril 2004, vers 18h00

Candidate n° 44

«Spacieux, clairs et égayés de jeux, les enfants scolarisés ont accès aux locaux de Bellevaux entre 7 heures et 18 heures.»

Claire Jotterand, anacolutheuse de foire,
in 24 Heures, 10 mai 2004